Cinq minutes à peine après avoir quitté son ponton, le Tibériade vient prendre sans difficultés le mouillage préparé vendredi dernier.
Le “briefing” sur l’arrière du navire terminé, chacun s’affaire : équipement des plongeurs, préparation des pompes, envoi des manches et mise en place des palier de sécurité.
Après une demie heure, les deux premières équipes à l’eau, le rythme de travail est pris et les équipes se succèdent avec régularité.
Sur le fond, les “suceuses” aspirent le sédiment et dégagent les charpentes, recouvertes il y a déjà 12 ans à la fin du chantier de fouilles de 1990. Des éléments de charpente stockés à l’abri du sédiment apparaissent en premier lieu dans un parfait état de conservation puis, peu à peu, les structures de la Lomellina (bordé, membrure, vaigrage…).